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Le 07/12/2016
Le Semnoz en partant d'Allèves. Direction le Chalet de Gruffy en passant par la voie romaine , le village de Henri et sa chapelle personnelle.
Pique-nique au soleil pour fêter la St-André.
Au retour, belle cueillette de houx.
Rando du vendredi 25 novembre 2016
Le 01/12/2016
Départ de Verthier (sans soleil) pour monter au Col de la Forclaz (sans soleil) puis continuation jusqu'à Pricaz (toujours sans soleil). Pique-nique de luxe sous les sapins avec table et banc, en prime, vue sur le lac. Belle journée.
Rando du mardi 15 novembre 2016
Le 27/11/2016
Ouf ! un mardi sans pluie ... Direction le Mont Corsuet par la Grotte aux Fées et la Croix de Meyrieux.
Il fallait bien fêter ça ......
2016.11.16 LPP La Biche - Lornay
Le 16/11/2016
CHRONIQUE D’UN « PAS PRESSE »…
16/11/2016
La Biche - Lornay
(LPP) 2016.11.16 LORNAY LA BICHE (photos Andrée)
(LPP) 2016.11.16 LORNAY LA BICHE (photos Viviane)
Les vents, pardon : les conditions, étant favorables, cap à l’Ouest à nouveau aujourd’hui. Départ à 13 h pour quatre équipages bien résolus à affronter la sinueuse route des Creuses…
Objectif premier : la cité des « Passnaillus », nom familier donné à Rumilly.
L’impressionnante gorge du Chéran dépassée avec le pont sur le boulevard Louis Dagand, mais a-t-on eu le temps de s’en apercevoir ? il nous faut bifurquer à droite pour trouver la D 31, laquelle nous amènera à Lornay, point de rassemblement pour notre randonnée.
Le temps nous est compté, mais un peu en aval de la ville, à hauteur de Vallières, on aurait pu s’aménager une petite halte à la confluence du Chéran avec le Fier, au lieudit « Vers Coppet » sur la rive droite, et « Broise » à l’opposé.
Situé au pied de la montagne du Gros Foug, qui culmine à 1 087 m, le coquet petit village de Lornay, tout proche de l’entrée du « Val de Fier », est distant de 7 km de Rumilly.
522 « Lornerains » (2013) peuplent la commune ; ce nombre était déjà atteint dans les années 1840-1860, tandis qu’un creux de démographie ramenait ce chiffre en dessous de 200 vers 1980, puis une rapide croissance s’ensuivait.
Surprenant : Lornay a été le fief de la famille « de Menthon », du XIIIe siècle à la Révolution, par le biais d’héritages.
Voila donc nos vaillants marcheurs (dont onze « mâles » cette fois-ci encore…) quittant le village sac au dos, pour s’engager sur un bon chemin en forêt longeant un profond ravin au fond duquel coule un petit ruisseau. Un peu trop pentu au gré de certains. Profitons des feuillages colorés sous ce soleil, bienvenu, de novembre.
Puis à travers la verte campagne, la pente s’adoucit : apprécions alors ce site panoramique embrassant, au nord, la Montagne des Princes, là où l’on était il y a peu de temps, et toutes les montagnes récemment enneigées, du Salève aux Bauges.
Puis, à la cote 467 m, on trouve la ferme de « la Biche », laquelle a donné son nom à notre circuit du jour. Le temps de remarquer le potager, les nombreuses génisses dans les deux étables, on peut récupérer de nos efforts de la montée, en empruntant cette portion de route asphaltée où l’on atteint vite le hameau de la Bâtie. Ici on rejoint le circuit balisé de « la Châtelaine » qu’on suivra par la droite jusqu’au hameau de Hauteret, à 508 m, point culminant de notre boucle. Quelques grosses bâtisses rénovées, puis à la sortie du village nous attend un parcours plus accidenté, d’abord en prairie, puis en forêt.
Peu après se présente un raidillon d’une quarantaine de mètres de dénivelé, matière à entendre gémir quelques organismes récalcitrants, objet de succulentes réflexions… mais toujours dans la bonne humeur, celle-ci présente tout au long du circuit. Cette phase de parcours plutôt pénible, m’amène, dans ma pensée toujours galopante, à l’image d’une certaine fable apprise il y a bien longtemps… Je cite « Dans un chemin montant, sablonneux, mal aisé…, l’attelage suait, soufflait, était rompu… ! »
Pour ce qui est des chevaux… Ben on va les trouver un peu plus bas, à l’approche du hameau du « Couer » : en fait ce seront deux belles mules, impressionnantes de taille, qui sont parquées dans cet espace clos, de prairie, l’ensemble laissant supposer des lieux un peu abandonnés.
Curieux comportement à notre approche, de ces deux belles bêtes dressant leurs grandes oreilles. L’une d’elles surtout, particulièrement démonstrative, nous gratifie de joyeuses roulades répétées, pour ensuite s’approcher familièrement de la clôture, sans doute pour avoir une idée de l’impression laissées après ces évolutions… Que voulaient-elles exactement exprimer ? En tout cas, le spectacle champêtre fut apprécié !
La petite route asphaltée alors retrouvée, la traversée du hameau sera l’occasion de remarquer des disparités : aussi bien de vieilles bâtisses proches de l’écroulement, que de belles demeures de pierre et bois restaurées avec goût.
Et que dire de cette basse-cour d’apparat rencontrée en sortie du village ? De ravissantes cocottes arborant avec fierté leur coiffe ébouriffée au-dessus de leur superbe redingote de plumage coloré que prolonge jusqu’au pied leur longue culotte bouffante… Là, je brode un peu, non ? Ah si elles pouvaient me lire : flattées ainsi, elles en glousseraient de fierté, elles en caquetteraient de plaisir !
Dernier tronçon de route, et bien vite apparait le clocher, terme de notre périple.
De la place auprès des voitures pour le rituel petit goûter convivial de fin de balade. Notre Anne-Marie/gâteau n’a pas manqué de nous faire apprécier une fois de plus sa pâtisserie « maison », à laquelle sont venus s’ajouter des échantillons goûteux de chocolat.
Merci à tous ; la nuit va vite arriver à présent : hâtons-nous.
EP/vm
Le 12/11/2016
Plan de la Limace dans les Bauges au départ de Précherel. Beau temps. Encore quelques couleurs d'automne.
Le 06/11/2016
LE GRAND COLOMBIER :
Plusieurs nouveautés pour ce circuit : Nous sommes allés nous garer à 4 kms de l'endroit habituel et avons pris ce circuit à l'envers ce qui nous a permis de démarrer en douceur et d'arriver au bout tranquillement. Beaucoup de vent au sommet mais nous avons trouvé pour le déjeuner un endroit inédit à l'abri du vent, un peu plus loin, en direction de Culoz. Dernière nouveauté : les hommes étaient majoritaires ! (10 hommes pour 8 femmes).
2016.11.02 LPP Les Chemins d’Angely à Vaulx
Le 02/11/2016
CHRONIQUE D’UN « PAS PRESSE »…
02/11/2016
Les Chemins d’Angely à Vaulx
Dix-huit : c’est le nombre de partants présents au rendez-vous du jour fixé à 13 h, au parking des Grèves, sans inscription préalable. Dix-huit, ben çà fait juste ! On verra pourquoi plus loin…
Privée de sortie la semaine passée pour cause de mauvaise météo, celle-ci, bien qu’annoncée comme peu favorable à priori, se montrera finalement clémente aujourd’hui.
Et tiens donc ! Pour une fois la gent féminine se trouve être en état d’infériorité : c’est exceptionnel ! Le fait d’avoir reporté cette sortie au mercredi y est sans doute pour quelque chose !
Conformément au programme proposé, les Chemins d’Angely seront le but de la balade de cet après-midi. Destination Vaulx donc pour nos quatre véhicules ; Poisy, D14 pour Lovagny, Nonglard, puis D44 par Mornaz : le clocher est en vue. Ainsi une petite quinzaine de kilomètres, c’est bien, d’autant qu’à présent on a pris une heure dans la vue depuis le week-end dernier…
Vaulx : située à mi-distance entre Cran et Rumilly, cette commune du nord-Albanais compte 890 Vaulxois. Altitude du chef lieu : 540 m.
Traversée du village sac au dos en direction du nord, puis la petite silhouette du randonneur pyrogravée sur son petit carré de bois sera notre repère tout au long du circuit à travers cette campagne albanaise.
Grimpée coupe-pattes plutôt raide au départ, par la gauche : il faut « ménager la monture », le souffle devient court…
Mais bien vite on atteint le vert plateau panoramique : dommage qu’un plafond bas nous bouche l’horizon. Dans cette première partie du parcours, de petits panneaux descriptifs judicieusement implantés par l’Ecole d’Agriculture de Poisy, nous renseignent sur les diverses variétés d’arbres rencontrés, et plus encore. Le châtaignier parait dominer les essences rencontrées avec l’entrée en forêt, par un bon chemin carrossable. Mais tout au long, pas de quoi remplir la musette : on ne remarque que des gogues éclatées. Où sont donc passées les châtaignes ?
La première forêt traversée sur un tapis de feuilles mortes, le paysage s’ouvre sur le hameau de Fresnes. On découvre le centre équestre de bonne apparence, paraissant assez important au vu des nombreux boxes alignés. Mais de chevaux, point à cet instant : ils ont dû sans doute aller galoper dans la vaste campagne alentour.
Dans la prairie, au-delà de la clôture, paissent des vaches, image hideuse car sans cornes, et plutôt curieuses de voir cette troupe de bipèdes. Mais s’agit-il bien des mêmes animaux qu’il nous arrive encore de regarder avec plaisir dans nos alpages d’altitude ? Que ne ferons-nous pas à notre époque dite de progrès ! Bientôt nos petits enfants ne se poseront-ils pas la question de savoir de quelle espèce de bête est cette belle encornée devenue si rare ?
Coquet petit oratoire en bordure de la petite route asphaltée arrivant de Sallongy, hameau de Thusy. Puis à Fresnes-Dessus on oblique vers la gauche pour trouver le chemin à nouveau pentu nous amenant à la seconde forêt. Nous voici au Crêt d’Angely cote 689 m. C’est haut, non ? C’est en tout cas le point culminant de notre balade. A l’orée du bois, on découvre un nouveau panorama : au-delà d’Arzy, hameau de Sillingy, sur notre gauche au fond, le Salève, en face la Mandallaz et sa falaise incurvée caractéristique, colorée au soleil déclinant ; plus à droite, la Montagne d’Age, toute proche.
Toujours à travers la campagne albanaise, le large chemin descendant nous amène au Biolley, dernier gros hameau sur le parcours. Aux aboiements excités devant chaque maison, on pourrait dire que c’est le village des chiens, tellement ils sont nombreux à nous repérer. Au centre, un élevage de l’espèce, où l’on peut s’attendrir devant des chiots dont la mère multiplie des délicates attentions.
Coup d’œil, en sortie du hameau, à la belle chapelle restaurée, dans son décor arboré ?
Dernière pente descendante, traversée du ruisseau de Vaudrenaz, sentier du Pont-de-Pierre et la boucle se termine avec l’arrivée au chef lieu.
Trois heures de marche ont été nécessaires pour effectuer cette balade de huit kilomètres d’aspect vallonné à travers prairies et bois, plutôt agréable, à la satisfaction de tous ;
Avec cette reprise des sorties en après-midi, retour au rituel goûter ravigotant, apprécié sur la place de l’église. Hâtons-nous car, le soleil à présent disparu, le jour va vite décliner. Pour l’occasion, je reviens à l’allusion de début de texte sur le nombre de marcheurs : les boîtes de goûter contenant chacune six portions, pas de souci de répartition : le compte est bon !
Merci à tous, et à la prochaine, suivant le bon vouloir de dame météo.
EP/vm
Le 27/10/2016
Le Roc des Tours depuis le Chinaillon. Randonnée rapide, pas chaud, chaud ...